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Après 2 jours de pluie diluvienne, un Pénitent des Mées s'effondre sur la partie sud du village. Cet effondrement détruirea complètement plusieurs maisons et impactera beaucoup d'autres sans faire aucun blessé

Source : D'Ici

C'était il y a un an jour pour jour. Un rocher des Pénitents des Mées s’était effondrée en plein cœur du village. Deux habitations avient été détruites, dont une… entièrement. Le drame s’était produit aux alentours de 16 heures. Pas moins d’une centaine de sapeurs-pompiers avaient rapidement été dépêchés sur place pour sécuriser les lieux et tenter de déblayer les 3 000 m2 de gravats

Source : Dici -

Le 2 décembre 2019, un pénitent avait écrasé plusieurs maisons du village des Mées. Pour commémorer l'événement, la sirène retentira 2 fois à 16h

Source : Alpes 1

Un éboulement s'est produit dimanche sur la partie NOrd de cette crête dominant le vallon du Grand Tabuc. Un arrêté municipal a été pris pour en interdire l'accès.

Source : Le Dauphiné libéré

A la Clave, hameau partagé entre le Broc et Gillet, un véhicule est tombé à la suite de l'affaissement des berges de l'Estéron. 

Source : Nice matin

L'accès prinicipal à la vallée coupé à la suite d'un éboulement, le trafic s'est reporté sur la route de Duranus, étroite et sinueuse. La Métropole travaille à une solution temporaire.

Source : Nice matin éd. Nice métropole p. 10 

Dix pompiers, dont deux spécialistes en sauvetage et déblaiement, et un spécialiste en risques technologiques ont été mobilisés.

Var matin

La mairie va effectuer des sondages. Pour rappel, cette route avait été le théâtre d’un éboulement début février et avait fait l’objet de travaux provisoires.
Source : Le Dauphiné libéré

Les travaux paraissent titanesques sur la partie touchée par des éboulements en décembre 2019. Le Grand Port Maritime est à l'origine des travaux destinés à renforcer les deux rives.

source : La Provence  éd. Martigues p. 7-

Une partie de la corniche d’Arène Cros et son mur de soutènement sont partis à l’eau l’an passé, selon les propriétaires, les vagues ne sont pas seules en cause. L’affaire est aux mains des experts.

Source : La Marseillaise