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À Vaugines, village situé dans le sud Luberon, un premier éboulement s’est produit ce dimanche 24 novembre, à 9 heures, dans le centre, à la suite d’un glissement de terrain. Ce dernier s’est effondré en partie sur la voie publique. La piscine qui se trouvait dans le jardin a été vidée en raison de la menace qu’elle représentait et une cuve de gaz apparente a nécessité une surveillance particulière de la part des secours et des gendarmes.

Lien source : Le Dauphiné libéré

La circulation entre Saint-Christol d’Albion (Vaucluse) et le département des Alpes-de-Haute-Provence est désormais impossible sur la route départementale 34 suite à un effondrement partiel. Des investigations géotechniques seront lancées la semaine prochaine pour comprendre le phénomène.

Lien source : France bleu

Après les derniers épisodes climatiques, aussi exceptionnels qu’intenses, des phénomènes de glissements de terrain ont été constatés, dont un significatif, rue Jean Monnet, sur les bords du canal. Les services techniques de la ville et du Grand port maritime de Marseille – auquel l’État a confié la gestion du canal – sont mobilisés afin de stabiliser une portion de talus susceptible de s’effondrer. Un périmètre de sécurité a été mis en place, une seule habitation – qui doit être évacuée

Lien source : La Provence

La ville d’Istres travaille à l’élaboration d’un dossier de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle auprès des services de l’Etat relatif aux mouvements de terrain consécutifs à la sécheresse et la réhydratation des sols lors de l’année civile 2019.

Source : La Provence éd. Martigues - p. 16

Douze mois après l'éboulement d'un bloc de roche, le chaniter de réhabilitation des lieux est toujours en cours.

Source : La Provence 

Les travaux paraissent titanesques sur la partie touchée par des éboulements en décembre 2019. Le Grand Port Maritime est à l'origine des travaux destinés à renforcer les deux rives.

source : La Provence  éd. Martigues p. 7-

Une partie de la corniche d’Arène Cros et son mur de soutènement sont partis à l’eau l’an passé, selon les propriétaires, les vagues ne sont pas seules en cause. L’affaire est aux mains des experts.

Source : La Marseillaise