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Mardi après-midi, alors que le vent redoublait d’intensité, des plaques de tôles se sont envolées du toit du collège Jean-Giono, au Beausset, pour aller balayer, quinze mètres plus bas, la cour de récréation heureusement vide à cet instant.Conscients du danger représenté par ces projectiles en puissance, le principal Richard Suffren et ses collaborateurs ont aussitôt pris les mesures de sécurité qui s’imposaient : confinement des élèves dans leurs classes, interdiction à toute personne de circuler dans la cour et aux abords de l’établissement, demande d’intervention immédiate des sapeurs

Le feu a pris sur des branches de pin avoisinant un foyer de débroussaillage qui avait été effectué vendredi dernier. Mais avec la violence du vent de ce mardi, le feu s’est ravivé et s’est propagé aux broussailles alentour.

Lien source : Var matin

Le feu de forêt qui s’est déclenché mardi à 13h13 est désormais circonscrit, depuis 15h, grâce à l’intervention d’une vingtaine de pompiers. Une ligne électrique serait à l’origine de cet incendie.

Lien source : France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur

Ce spectacle se passe sur sa parcelle agricole, en bordure d’Aygues, au quartier de la Genestières. Depuis un an et demi, il a mesuré le terrain gagné par la rivière de 300 mètres de long, sur 34 à 45 mètres de large. Il estime à plus d’un hectare de terre agricole parti dans l’eau, et 0,7 ha de zone naturelle arborée. Ses terres surplombent la rivière de 3,5 mètres et ce sont environ 60 000 tonnes de terre qui sont allées se déposer un peu plus loin.

Lien source : Vaucluse matin

Les personnes sinistrées disposent d’un délai de 10 jours au maximum à compter de la publication de l’arrêté au journal officiel, soit le 8 février 2020, pour déclarer les dégâts subis auprès de leur compagnie d’assurance.

Lien source : La Provence

Frappés par de violentes intempéries du 22 au 24 novembre 2019, et les 1er et 2 décembre, les Alpes-Maritimes et le Var ont subi d’importants dégâts, longs à lister. Mercredi 29 janvier, un arrêté interministériel reconnaissant l’état de catastrophe naturelle à des villes des deux départements a été publié.

Lien source : France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur

L’état de catastrophe naturelle a été reconnu pour la commune d’Annot. Ce village du sud des Alpes-de-Haute-Provence avait subi inondations et coulées de boue lors d’un violent épisode climatique, du 22 au 24 novembre 2019.

Lien source : Le Dauphiné libéré

C’est la somme demandée auprès du tribunal administratif par quatre établissements de la Brague à Antibes fermés à la suite des inondations de 2015. Le jugement a été mis en délibéré.

Source : Nice matin éd. métropole de Nice- p. 21

Il y avait beaucoup de monde à la réunion publique d’Oraison (Alpes de Haute Provence) qui devait faire le point sur l’évolution de l’énorme chantier de sécurisation du site après la chute d’un pénitent. Le maire Gérard Paul a rappelé les faits survenus en cette sinistre journée, à 16 heures un énorme bruit, un nuage de poussière, les premières sirènes… éviter le sur-accident, identifier les résidents du quartier, s’assurer qu’il n’y avait personne sous les décombres. “Pas de mort, cela relève du miracle”.

Lien source : Haute Provence Info

La secousse s’est produite au cœur de la nuit, peu après 4h29, en pleine mer, à 129 kilomètres des côtes azuréennes. Le séisme n’a pas été ressenti

Lien source : France bleu