5 jours après les intempéries meurtrières dans le sud-est, Emmanuel Macron s'et rendu dans la région. Beaucoup s'inquiètent pour l'avenir, mais veulent rester malgré tout. L'urgence est de rétablir les transports ferroviaires et les routes.
Etait-il possible d'éviter une telle catastrophe ? Les conséquences du passage de la tempête Alex dans les Alpes-Maritimes font parler d'elles car la bétonisation, l'imprudence et les nombreuses constructions sont souvent pointées du doigt dans le cas d'inondations.
Ce village a subi de plein fouet la crue de la Roya du 2 octobre. Beaucoup d'habitants se demandent comment le fleuve a pu atteindre le vieux centre qui n'était pas en zone inondable.
3 nouveaux corps ont été découverts lundi dans l'arrière pays-niçois, portant à 4 le bilan côté français.
L'ouvrage n'a pas créé de vague et il ne cédera pas. Entretien avec le responsable local d'EDF hydro pour fait un point sur les installations impactées par la tempête.
Source : Nice matin éd. Métropole Nice p. 10 -
Une crue de l'Estéron a emporté il y a presque un an une passerelle privée qui permettait à une dizaine de familles d'accéder à leur domicile à Gilette. Les habitants doivent depuis emprunter un chemin de randonnée qu'ils estiment dangereux.
Source : Nice matin éd. Nice métropole p. 19
En quelques heures, les crues ont emportés routes et villages. C'est un paysage dévasté qu'ont découvert les habitants et les secouristes ce week-end
Alors que les pluies torrentielles commençaient à tomber dans les Alpes-Maritimes, le trentenaire qui rentrait de travail de Monaca n'a pas hésité à regagner son domicile de la vallée de la Vésubie vers 18h30 en pleine vigilance rouge. Il est entré sur la chaussé, mais très rapidement de l'eau coulait de la falaise et son véhicule s'est retrouvé coincé.
Au lendemain des intempéries qui ont ravagé les vallées de l'arrière-pays-niçois, le Premier ministre, a engagé samedi la procédure de catastrophe naturelle.
17 jours après le passage de la tempête Alex qui a dévasté la vallée, les maires prennent la parole pour dire leur inquiétude.
Source : Nice matin éd. Métropole Nice
