Certains n’échapperont pas à la hausse du niveau de la mer, aux effondrements de falaises et vagues de submersion. Le rachat par les pouvoirs publics des logements les plus menacés est une piste.
Source : Var matin - p. 16
Mardi 31 octobre, les autorités cannoises seront sur le pied de guerre pour faire face à une « alerte tsunami »… pour de faux. « Cannes sera la première ville de France à organiser un exercice de simulation dans le cadre de son Plan de sauvegarde communal (PCS) », a indiqué la ville lundi. Un test monté dans le cadre d’un partenariat entre la commune et le Centre d’information pour la prévention des risques majeurs (CYPRES).
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Mardi 31 octobre matin, un exercice est organisé par la mairie en partenariat avec la Préfecture des Alpes-Maritimes, le Centre Opérationnel de Gestion des Crises (COGIC) et le Centre d’Alerte Tsunami (CENALT). Le Centre d’information pour la prévention des risques majeurs (CYPRES) est partenaire de la ville de Cannes. Ce centre aide les collectivités à avoir les bons réflexes dans un tel cas de figure. Rédaction de messages d’alerte, mise à jour d’un dossier d’information communal sur les risques majeurs (DICRIM), organisation d’un poste de commandement communal, tout cela est testé aujourd
Météo France annonce pour lundi un épisode de vagues et submersion assez remarquable qui concernera le littoral méditerranéen du Gard aux Alpes-Maritimes.
Lien source : France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur
Depuis 2012, la France s’est dotée du Cenalt, centre d’alerte aux tsunamis qui surveille les séismes survenant notamment en Méditerranée. Mais des progrès sont encore à faire sur l’alerte des zones concernées.
Source : La Provence éd. Martigues - p. I
Il y en a déjà eu, il y en aura encore. Un jour ou l’autre, un tsunami frappera la Côte d’Azur. Sans doute pas aussi violent qu’en Asie. Mais suffisamment pour que le risque ne soit pas considéré comme négligeable, comme l’indique Christophe Larroque, géologue au laboratoire Géoazur
Lien source : Nice matin
Menton, Roquebrune-Cap-Martin, Cap-d’Ail et Eze bénéficient de l’état de catastrophe naturelle après la tempête Adrian. Ces communes avaient été sinistrées les 29 et 30 octobre 2018 suite à des inondations résultant du choc mécanique de vagues. L’Etat avait une première fois refusé de considérer qu’il s’agissait d’une catastrophe naturelle, mais le combat des élus a payé.
Source : Nice matin éd. métropole Nice - p. 20
Après les collégiens l’an dernier, ce sont des écoliers qui étaient sensibilisés jeudi aux risques majeurs, en ce quatrième anniversaire des inondations tragiques du 3 octobre 2015. Une journée départementale orchestrée par la Préfecture qui se renouvelle chaque année. Le Cyprès a participé à cette journée.
Lien source : Nice matin
Une charte « unique en France » a été signée avec la mairie à l’occasion de la Journée mondiale de sensibilisation aux tsunamis
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20% des plages du littoral méditerranéen sont directement impactées par l’érosion, et à Grimaud, dans le département du Var, l’anse du Vieux Moulin n’échappe pas à ce phénomène. En l’espace de moins d’un siècle, la plage a perdu 24 mètres, ce qui fragilise les habitations devenues très, trop près du rivage. La digue monte jusqu’à 30 centimètres sous le niveau de l’eau. Du coup, elle est invisible du rivage, mais elle permet de brise l’énergie de la houle
Lien source : France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur
